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Comme cela ne vous semble pas si élémentaire que cela mes chers Watson en herbe, je me suis donc décidée à vous aider…

Alors ça ne se mange pas (désolé Annick), ça s’utilise, et je peux même vous dire que souvent ça a un lien entre moi et Futile…

Alors, ça chauffe ???

Mutine

Juin !!

Bien le bonjouuuuuuuur !!! Et oui nous avons désormais les deux pieds dans le mois de juin c’est indéniable… Juin un mois fort sympathique. Déjà, on commence à voir revenir doucement la douce chaleur du soleil. C'est aussi le mois de mon anniversaire de mariage, mais c’est aussi un mois que j’attends avec impatience tous les ans et cela, depuis de nombreuses années… Alors comme je suis d’humeur ludique et joueuse aujourd’hui, je vous laisse deviner ce qui se passe/ce que je fais tous les ans en Juin…J’enverrais un petit cadeau à la première personne qui trouvera… Pour vous aider, ça n’a rien a voir avec zom (ça date de bien avant lui), voyez plutôt du cotés de ce que j’aimeuuuuuu !

Mutine

Un air de fête

Se retrouver entre amis un dimanche en début de soirée, diner légèrement et sortir tôt pour profiter pleinement des dernières heures de soleil, s'émerveiller de la joie ambiante, écouter la musique comme les abeilles butinent, confronter nos univers, nos gouts, se balancer, se trémousser, battre le rythme, râler sur l'amateurisme de certains, dire que c'était mieux avant, marcher, marcher beaucoup trop selon certains, rire, chanter, virevolter, immortaliser l'instant deux cent fois, soudain, trouver ce qu'on attendait pas: une porte ouverte, donnant sur une cour acceuillant un bal populaire, une guirlande lumineuse, un olivier majestueux, un groupe de chanteur qui enchaîne les airs de Johnny, Cabrel, Gloria Gaynor et nous voila dansant de façon éfreinée, chantant à tue-tête pour accompagner la musique. Plus tard, la fête perd de son charme, tout le monde est beaucoup trop éméché, les gens vomissent, urinent partout, se montrent un peu agréssif, on aurait vite fait de dire que cette fête est une fête de pacotille, une fête d'amateurs et d'ivrognes. Pas du tout, ce qui me reste au réveil ce matin, c'est un air de "I will survive", des confettis dans ma rue et le souvenir d'une belle soirée avec des personnes chères, je n'aurais échangé mes compagnons pour rien au monde. C'est vrai, la fête de la musique est pleine d'imperfections, mais c'est aussi ce qui lui donne son charmes, pour ma part, je suis déja partante pour l'année prochaine! Et vous? Futile (oui oui c'est un article de Futile)

Ca sushi maintenant !!!

Bonjour chères lectrices, Je viens vers vous aujourd’hui pour vous raconter ma confrontation d’hier avec un restaurant japonais…J’ai levé mes petits poings, bataillé serré comme une pro…et le verdict est tombé…. Voilà depuis que je suis avec zom, il rêve d’aller manger japonais. Moi, perso, tout ce qui est cru me dégoûte, c’est à me donner des nausées, c’est pour dire ! Mais que ne ferait-t’on pas par amour ? Je lui ai donc promis que nous irions un jour et que nous goûterions à peu prés tout ce qu’il voulait ! Mais bon ça reste beaucoup de cru…Moi ? Manger du cru ? heuuu… C’est simple, à la question : « quelle cuisson votre viande ? », je réponds « Cuit, très trés cuit, brûlé, faut plus que ça bouge !!! », et c’est à ce moment que zom précise « moi je la veux saignante, limite si elle court encore ce n’est pas grave ». Bref j’ai tenu bon, plus de 5 ans, mais depuis que trois restaurants japonais ont ouvert à Amiens en moins de six mois, et que les copains avaient tous envie d’y aller pour goûter, je sentais bien l’étau se resserrer sur moi doucement, et que j’allais devoir y passer…et voila, c’est arrivé, hier, invitation des potes pour aller se faire un restau japonais tous ensemble …

Je vous avoue que j’ai stressé comme une malade toute la journée. C’est difficile de se dire qu’on va se faire violence et manger des trucs qui vous tente pas du tout le soir même…Pire que ça, qu’on va même payer pour ça !!

Bref, 10h de comptabilité plus tard, nous sommes tous devant le restau, moi j’ai un sourire crispé sur le visage, il est l’heure d’entrer maintenant….Allons y !

Déjà la déco du restaurant est sobre, mais sympa. Tout le monde s’installe, on nous apporte les cartes, nous laissant choisir sans même un petit conseil pour les débutant que nous sommes. Résultat de la commande, un menu sushis pour moi, un menu maquis pour zom et quelques brochettes en plus pour goûter la QUASI TOTALITÉ DES SPÉCIALITÉS DE LA CARTE et se faire une idée.

Le serveur reviens avec les boissons et apéritifs (grand moment de solitude, je suis la seule a avoir pris de l’alcool, mais bon j’ai besoin de courage, et j’ai une réputation à tenir non mais !), et puis il revient avec des serviettes chaudes pour se nettoyer les mains. Bon très vite les serviettes commencent à voler sur la table…hop hop esquive… (oui on est des grands gosses intenables ) et enfin, les plateaux arrivent…

Comme toute bonne reporter que je suis, je vous ai bien entendu pris des photos !

Je regarde zom, les plateaux, les plateaux, zom…je crois qu’il est trop tard pour fuir, la porte est loin de toute façon, et puis je suis coincée contre le mur…Je ne peux définitivement plus reculer, je bombe le torse, soupire une dernière fois, et fais face à un sushi au poisson.

A ce moment là, je me suis sentie comme une candidate de Koh-lanta faisant face à un vers gluant, sauf que je n’avais pas vraiment d’équipe à faire gagner moi…

Je saisis mes baguettes et commence donc mon « repas »…

Au final, j’ai tout goûté, tout je vous dis !!! Et je vous avoue que je n’ai rien trouvé bon (sushis et maquis). Tout était fade, avec des goûts quasi similaire pour presque tout. La texture était très désagréable aussi. N’oublions pas le goût d’algue prononcé dans tous les maquis, qui prend le pas sur toutes les autres saveurs potentiels de ses petits rouleaux, c’est vraiment, mais vraiment pas terrible ! Par contre les brochettes de viande, MIAM !! Très très bon. (Même verdict pour zom)

Le serveur a reprit notre plateau encore plein au tiers et nous sommes passés au dessert.

Voila chères lectrices mon dernier périple. Apprenez quand même que j’ai été nauséeuse toute la nuit et que, je le suis ce matin encore…on ne m’y reprendra plus à manger des aliments qui ne sont pas cuits !!

Mutine

00h01

Je jette un oeil à l'horloge, 00h01, délogée il y a 30 seonde par une énooooooooooorme araignée, j'ai quitté le canapé et me suis assise sur un coussin. Tout prés d' "Eternel Sunshine of the spotless mind". L'avez vous vu? Ce film je l'ai vu plusieurs fois, toujours par accident, ce film me retourne. Cet amour si fou et si pur, cette drôle d'idée d'éffacer ses souvenirs pour arreter de souffrir, je suis tombée amoureuse il y a quelque mois et je crois que si on m'avait proposé à un moment si je voulais m'extraire cet homme et tout ce qui s'y rattachait, j'aurais surement dit oui. A l'époque, je me demandais parfois, si je ne finirai pas folle. Aujourd'hui, cette histoire est derrière moi et si j'en porte encore les cicatrices, elle fait partie de moi et je ne voudrais pas m'en séparer. Il est plus de minuit et j'ai promis à Mutine de finir ce soir mon article sur le GN. J'en ai écrit une partie dans le train qui m'amener vers Barcelone mais les mots me semblent vides de sens. On ne raconte pas un GN on le vit. On ne peux pas trouver les bons mots pour décrire l'appréhension de ne pas être à la hauteur du rôle que l'on nous a confier. Je ne pourrais pas non plus vous raconter ma fierté devant Mutine qui incarné son rôle avec tant de charisme et de justesse. Je vous parlerai encore moins des sentiments méllés de fierté, de courage, d'apréhension et de plaisir quand nous sommes partis en mission sucidaire à deux pour délivrer nos compagnons kidnappés par 30 Skavens (hommes-rats). Durant deux jours nous nous sommes battut, nos rôles étaient ceux de combattants du Chaos dont le but ultime était de tomber au combat pour leur Dieu. C'est pourquoi nous étions toujours en première ligne des combats, c'est pourquoi nous n'avons jamais reculé. Ce fut deux jours que nous avons vécu pleinement, croqué entièrement. Nous avons bu de l'eau de vie de naine, du vin elfique, des gateaux ressemblant à des cailloux, dormi à même la pierre vu que notre matelas gonflable a rendu l'ame lors de la première nuit, oublié le concept de douche ainsi qu'internet, nos amis, nos amour. Mais rien de tout cela n'avais d'importance, nous avons vécu une aventure, nous n'étions plus tout à fait nous. Et voilà, il a suffit que je jette mon article et que je décide de ne pas en parler pour que les mots sortent. Paradoxe féminin... Futile Note pour celles qui se demandaient ce qui m'arrive: Désolée pour le long silence radio, ma vie a été secouée ces derniers temps avec mon changement de job et une page à tourner ainsi que pas mal d'activités de geek, il faut bien l'avouer. En tout cas, foi de Futile, je vais très bien (je suis même un chouia bronzée), cette pose m'a fait beaucoup de bien, mais je suis très heureuse d'être de retour ici!